Inspire Hebdo PNL 27 – LE MANAGEMENT

Le management, c’est s’engager, prendre une responsabilité, individuellement ou collectivement car bien sûr on peut se manager soi-même, ou manager les autres.

On peut définir trois dimensions dans le management.

Avant tout, il faut définir quelle est la mission, l’objectif et s’assurer que les gestes de bases nécessaires pour l’atteindre sont acquis, que j’ai ou que l’équipe possède les moyens de remplir sa mission, donc de s’assurer de la maîtrise du métier de base.

La seconde dimension du management est la capacité à prendre du recul sur ce que l’on réalise pour définir ce qu’il est possible d’améliorer, individuellement et collectivement. Cette quête d’amélioration d’ordre pédagogique permet d’optimiser la performance, en obtenant plus de résultats à travers moins de gestes, induisant une économie de coût.

Enfin, la troisième dimension est la prise en considération de ce que les gens vivent et ressentent face à leur tâche, à leur action. Un bon manager est à l’écoute des frustrations, pour pouvoir les corriger et faire naître la satisfaction, et porte son attention sur les sentiments des personnes face à leur tâche. Cela lui permet de prendre en compte les différences de chacun, de gérer au mieux la somme des différences pour l’enrichissement de l’ensemble.

L’écoute, la reconnaissance vis-à-vis de soi-même ou vis-à-vis des autres et la sensibilité à la médiation du manager forment ainsi un point essentiel.

Alors dans le cadre du management, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

WUC 91 – L’engagement

Inspire Hebdo PNL 26 – FACE AU STRESS

Le stress est une tension à l’intérieur de soi, qui nous contracte, qui nous angoisse parfois. Le stress nous fait réagir, et est en fait une alerte sur le fait qu’il existe un décalage entre la situation extérieure et ce qui se passe à l’intérieur de l’être.

Il y a deux manières d’interagir avec ce décalage.

La première est d’adopter une attitude défensive ou de fuite, de s’en plaindre, et c’est ce qui se passe quand on émet le genre de phrases comme : « ce n’est pas possible », « c’est toujours sur moi que ça tombe », etc.

La seconde est de transformer ce stress en quelque chose de riche.

Pourquoi vouloir transformer le stress ?
Il est nécessaire de prendre en compte l’alerte reçue, sinon on apprend à vivre régulièrement avec l’élément stressant. Cela entraine alors des tensions de plus en plus fortes, parfois même inconscientes, qui ont ou auront des conséquences sur la qualité de vie.

Comment changer le stress ?
Pour transformer ce stress en quelque chose de positif, il faut être à l’écoute, et ressentir ces sources de stress. Ensuite, il est essentiel de se demander ce que l’on doit changer.

Si une relation ou un job ne conviennent plus, quelles sont les modifications à apporter pour rétablir la situation ?

Il est donc important de prendre des responsabilités, et ne pas cantonner le problème à l’extérieur, car c’est à l’intérieur de soi que tout se joue.

Après une journée bien remplie, si les choses se sont déroulées comme désirées, on se sent porté d’énergie et détendu, alors qu’après une journée même moins active où les choses ne se sont pas passées comme souhaitées, on ressent le stress, car il y a des tensions qui se créent.

Dans ce cas-là, vous pouvez changer d’attitude face au stress : plutôt que de s’en plaindre, il est nécessaire d’identifier ce qui a été important pour soi mais qui n’a pas été satisfait.

Alors face au stress, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

WUC 88 – Explorer de nouveaux territoires

WUC 87 – La peur du regard des autres

Inspire Hebdo PNL 25 – LE LEADERSHIP

Le leadership, ou être un leader, est une notion qui réunit plusieurs éléments.
Ca consiste d’abord être porteur de quelque chose qui au fond anime notre âme de leader, une sensibilité particulière, une forme spéciale de créativité, une idée forte, quelque chose qui nous dépasse et qui nous semble essentielle à transmettre.

Tout leader inspirant est porté par des valeurs, par une vision, par un avenir, quelque chose de supérieur à la circonstance. Il sait mobiliser une énergie qui va donner envie aux autres de le suivre.

Grâce à cette énergie, il est en mesure de développer une attitude, une dicipline ou un ensemble de comportements en adéquation avec ce à quoi il aspire dans son futur, quelque chose qui réponde à une cause ou une finalité pour lui ou pour le monde.

Cette capacité du leader à être au contact de ce qui l’anime et à faire passer clairement son message lui permet de trouver la confiance, l’énergie, le potentiel de créativité pour le passage à l’action qui caractérise également le leadership.

Cette forme d’énergie lui permet aussi de gérer au mieux les interactions avec autrui, de s’ouvrir à des gens différents et d’analyser la meilleure façon d’interagir avec eux pour construire positivement.

Attention, un leader peut aussi être du genre dominant, faisant passer ses idées en force, imposant ses principes et ses règles et pouvant aller jusqu’à vouloir contrôler autrui pour son propre bénéfice.

Tout un chacun peut devenir un leader inspirant à partir du moment où il a clarifié ce pourquoi il se sent vivre.

C’est un sentiment fabuleux que de se sentir leader d’une cause qui nous anime.

Un nombre incroyable de difficultés se transforme alors en challenges, des ressources incroyables se révèlent que se soit dans la manière de communiquer avec soi, avec les autres et le monde, que ce soit dans sa façon d’agir et d’exister, ou même encore dans la confiance et l’estime que nous portons alors à nous-même et à ceux qui nous entourent.

Alors face au leadership, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

WUC 86 – Surmonter la peur de l’inconnu

WUC 85 – Le courage d’être soi

Inspire Hebdo PNL 24 – NOEUD RELATIONNEL

Le concept de nœud relationnel et de boucle relationnelle offre une clé essentielle à la compréhension de la gestion de toute rencontre, celle-ci débouchant soit sur une confrontation, soit sur une collaboration. Si le fond est au final le plus important dans la communication, pour que l’interaction soit possible, il faut travailler sur la forme : comment faire pour passer du nœud relationnel à la boucle relationnelle ?

Qu’est-ce qu’un nœud relationnel ?
C’est quand j’affirme quelque chose et que je défends mon point de vue sans être à l’écoute de mon interlocuteur. Pour défendre mon idée, mon système émotionnel va chercher des éléments, des références en lien avec cette idée, et je vais les adapter à ce que je veux défendre : c’est un effet de sélection et généralisation. L’attitude non-verbale peut aussi accentuer le nœud relationnel, mon corps manifestant une opposition, à travers une attitude de recul ou de repli sur soi par rapport à l’autre : l’attitude n’est alors pas une attitude d’accueil mais une attitude de rejet, que l’interlocuteur ressent.

Pour passer du nœud relationnel à la boucle relationnelle, il est indispensable de transformer ces réflexes : apprendre à poser les questions plutôt qu’affirmer, apprendre à faire préciser et à obtenir plus d’informations, plutôt que généraliser, et garder dans le ton et la posture corporelle une attitude d’accueil et de considération de l’autre.

Passer dans la boucle relationnelle, c’est entrer dans la flexibilité plutôt que systématiquement réagir face à un « non » : j’accepte que l’autre ait un point de vue différent mais tant que je pose des questions pour avoir plus d’informations par rapport à ce point de vue, et que je reste dans une attitude d’accueil, je conserve les chances de continuer à interagir.

Le génie de cette technique est qu’ainsi l’on peut rester dans la divergence de point de vue sans entrer dans le conflit. Ce n’est pas facile mais c’est toujours possible : cela ne demande qu’un peu d’entrainement.

Alors vis-à-vis des vos noeuds relationnels, VIGILANCE à vos petites frustrations comme à vos grandes !

SUGGESTION : montez votre état de joie au maximum face à vos frustrations et sollicitez au maximum votre créativité pour les changer !

 

WUC 84 – Je veux changer de vie